Garder le cap
Les Réunions de printemps du Fonds monétaire international et du Groupe de la Banque mondiale, qui se sont tenues du 15 au 20 avril 2024 à Washington, D.C., ont rassemblé dirigeants des secteurs public et privé.

Le monde est confronté à des crises étroitement liées : le changement climatique, le fardeau de la dette, l'insécurité alimentaire, des pandémies, la fragilité, ainsi que la nécessité d'améliorer l'accès à l'air pur, à l'eau et à l'énergie propre. Pour relever ces défis - et ceux de demain, le Groupe de la Banque mondiale s'emploie à devenir une banque meilleure.
Mobilisation des capitaux privés, plans en faveur de la couverture santé universelle et de l'accès à l'énergie et à l'eau : les Réunions de printemps ont rassemblé membres des gouvernements, partenaires du secteur privé, ainsi que les personnes que nous servons, pour donner un élan à nos ambitions et concentrer nos efforts collectifs sur les résultats et l'impact.


Des interprètes en plein travail lors de réunions multilingues avec des représentants du gouvernement. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Des interprètes en plein travail lors de réunions multilingues avec des représentants du gouvernement. Photo : Djenno Bacvic/IFC.

Les membres de l'équipe de direction d'IFC partagent un moment de détente lors d'une réunion bilatérale avec la délégation de la Colombie : Makhtar Diop, directeur général ; Elizabeth Marcano, directrice pour l'Amérique latine et les Caraïbes ; Susan M. Lund, vice-présidente pour l'économie et le développement du secteur privé ; Alfonso García Mora, vice-président pour l'Europe, l'Amérique latine et les Caraïbes ; et Emmanuel Nyirinkindi, vice-président chargé des solutions transversales. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Les membres de l'équipe de direction d'IFC partagent un moment de détente lors d'une réunion bilatérale avec la délégation de la Colombie : Makhtar Diop, directeur général ; Elizabeth Marcano, directrice pour l'Amérique latine et les Caraïbes ; Susan M. Lund, vice-présidente pour l'économie et le développement du secteur privé ; Alfonso García Mora, vice-président pour l'Europe, l'Amérique latine et les Caraïbes ; et Emmanuel Nyirinkindi, vice-président chargé des solutions transversales. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Mobilisation de capitaux privés
Plus de 400 000 milliards de dollars d'actifs sont gérés par les banques et les investisseurs mondiaux. Pourtant, seule une fraction de ces actifs est injectée dans les marchés émergents en faveur du développement. Lors de l'événement sur la mobilisation des capitaux privés, les membres du Laboratoire de l'investissement privé du Groupe de la Banque mondiale ont discuté des solutions pour lever les obstacles à l'investissement privé dans les marchés émergents et porter les efforts de mobilisation de capitaux aux niveaux nécessaires.
Pour en savoir plus, lisez l'article de Makhtar Diop, directeur général d'IFC, sur les solutions aux obstacles à l'investissement privé dans les marchés émergents : Relentless Resolve: Overcoming Barriers to Private Investment in Emerging Markets. (Article en anglais)

Lors des Réunions de printemps 2024 du Fonds monétaire international et du Groupe de la Banque mondiale, Shriti Vadera, présidente de Prudential et coprésidente du Laboratoire de l'investissement privé, et Makhtar Diop, directeur général d'IFC, ont discuté de ce dont le secteur privé a besoin pour renforcer d'urgence le déploiement de solutions pour le développement. (Interview en anglais)

Emmanuel Nyirinkindi, vice-président chargé des solutions transversales à IFC, ne déroge pas à son habitude et emprunte l'escalier. M. Nyirinkindi supervise les activités menées dans quatre domaines : favoriser la création de nouveaux marchés et créer des conditions propices aux investissements ; concevoir des partenariats public-privé efficaces et des solutions ciblées pour le financement des entreprises afin de maximiser le rôle du secteur privé dans le développement ; veiller à ce que les meilleures pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) soient intégrées dans l’ensemble des projets d’IFC ; et concevoir des stratégies pour le secteur privé qui permettent aux femmes et aux communautés mal desservies de participer pleinement à l’économie. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Emmanuel Nyirinkindi, vice-président chargé des solutions transversales à IFC, ne déroge pas à son habitude et emprunte l'escalier. M. Nyirinkindi supervise les activités menées dans quatre domaines : favoriser la création de nouveaux marchés et créer des conditions propices aux investissements ; concevoir des partenariats public-privé efficaces et des solutions ciblées pour le financement des entreprises afin de maximiser le rôle du secteur privé dans le développement ; veiller à ce que les meilleures pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) soient intégrées dans l’ensemble des projets d’IFC ; et concevoir des stratégies pour le secteur privé qui permettent aux femmes et aux communautés mal desservies de participer pleinement à l’économie. Photo : Djenno Bacvic/IFC.

Elena Bourganskaia, vice-présidente d'IFC chargée du soutien institutionnel, salue Guy Parmelin, conseiller fédéral suisse, chef du Département fédéral de l'économie, de l'éducation et de la recherche. Mme Bourganskaia supervise les fonctions relatives aux ressources humaines et au budget, les services de soutien administratif et informatique, ainsi que l’ensemble de la communication interne et externe, pour toutes les activités d’IFC. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Elena Bourganskaia, vice-présidente d'IFC chargée du soutien institutionnel, salue Guy Parmelin, conseiller fédéral suisse, chef du Département fédéral de l'économie, de l'éducation et de la recherche. Mme Bourganskaia supervise les fonctions relatives aux ressources humaines et au budget, les services de soutien administratif et informatique, ainsi que l’ensemble de la communication interne et externe, pour toutes les activités d’IFC. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Brancher l'Afrique
C'est en Afrique que la bataille de l'accès à l'énergie sera gagnée ou perdue.
Plus de 500 millions d’habitants en Afrique subsaharienne pourraient être toujours privés d’électricité en 2030. Sans accès à une énergie fiable, abordable et durable, la région ne pourra pas concrétiser ses aspirations au développement ni opérer une transformation économique indispensable pour sortir des millions de personnes de la pauvreté.
Comment développer à grande échelle les solutions et investissements nécessaires pour raccorder à l'électricité des millions d’habitants en Afrique et transformer les économies de la région ? Cette question a été le fil rouge de notre évènement phare rassemblant, autour du Groupe de la Banque mondiale, partenaires de développement, acteurs du secteur privé et ministres de pays africains.
Cet évènement a été l’occasion d’une annonce conjointe du Groupe de la Banque mondiale et du Groupe de la Banque africaine de développement : les deux institutions s’associent pour fournir un accès à l’électricité à 300 millions de personnes en Afrique d’ici 2030.


Mohamed Gouled, vice-président d'IFC chargé des industries, se rend à une réunion bilatérale. M. Gouled est chargé de piloter les communautés d’expertise sectorielles d’IFC et de veiller à ce que les enseignements tirés des opérations d’IFC contribuent aux connaissances et au leadership intellectuel du Groupe de la Banque mondiale, de diriger le développement des activités avec les clients mondiaux, de favoriser une collaboration étroite au sein du Groupe et d'appuyer la simplification des processus opérationnels. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Mohamed Gouled, vice-président d'IFC chargé des industries, se rend à une réunion bilatérale. M. Gouled est chargé de piloter les communautés d’expertise sectorielles d’IFC et de veiller à ce que les enseignements tirés des opérations d’IFC contribuent aux connaissances et au leadership intellectuel du Groupe de la Banque mondiale, de diriger le développement des activités avec les clients mondiaux, de favoriser une collaboration étroite au sein du Groupe et d'appuyer la simplification des processus opérationnels. Photo : Djenno Bacvic/IFC.

Makhtar Diop partage un moment de détente avec Jamshid Kuchkarov, vice-ministre, ministre de l'économie et des finances de l'Ouzbékistan et Ngozi Okonjo-Iweala, directrice générale de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), alors que la réunion bilatérale avec l'Ouzbékistan se termine et que celle avec l'OMC est sur le point de commencer. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Makhtar Diop partage un moment de détente avec Jamshid Kuchkarov, vice-ministre, ministre de l'économie et des finances de l'Ouzbékistan et Ngozi Okonjo-Iweala, directrice générale de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), alors que la réunion bilatérale avec l'Ouzbékistan se termine et que celle avec l'OMC est sur le point de commencer. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Couverture santé universelle
La couverture santé universelle vise à garantir à tous, particulièrement aux plus vulnérables, l'accessibilité aux soins de santé de qualité, sans entraîner de difficultés financières. Cependant, les progrès sont loin d'être au rendez-vous : plus de la moitié de la population mondiale n'a toujours pas accès aux soins de santé essentiels, et environ 2 milliards de personnes dans le monde sont confrontées à de graves difficultés financières en raison des dépenses qu'elles doivent effectuer pour se soigner.
Comment bâtir des systèmes de santé résilients, étendre la couverture des soins et améliorer la santé des populations afin que les pays puissent prospérer ? Ces questions ont été au cœur de notre évènement Passer du défi à l'action.
Le Groupe de la Banque mondiale a annoncé un plan ambitieux visant à aider les pays à fournir des services de santé de qualité et abordables à 1,5 milliard de personnes d’ici 2030.


Jamie Fergusson, directeur mondial pour l'action climatique ; Makhtar Diop, directeur général ; Mohamed Gouled, vice-président chargé des industries ; et Mary-Jean Moyo, chef de cabinet du directeur général. Photo : Djenno Bacvic/IFC
Jamie Fergusson, directeur mondial pour l'action climatique ; Makhtar Diop, directeur général ; Mohamed Gouled, vice-président chargé des industries ; et Mary-Jean Moyo, chef de cabinet du directeur général. Photo : Djenno Bacvic/IFC

Hela Cheikhrouhou, vice-présidente régionale d'IFC pour le Moyen-Orient, l'Asie centrale, la Turquie, l'Afghanistan et le Pakistan, discute avec Makhtar Diop. Mme Cheikhrouhou est chargée de développer les activités d'IFC dans la région et de constituer un vivier de possibilités d’investissement pour le secteur privé, sur la base des stratégies nationales. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
Hela Cheikhrouhou, vice-présidente régionale d'IFC pour le Moyen-Orient, l'Asie centrale, la Turquie, l'Afghanistan et le Pakistan, discute avec Makhtar Diop. Mme Cheikhrouhou est chargée de développer les activités d'IFC dans la région et de constituer un vivier de possibilités d’investissement pour le secteur privé, sur la base des stratégies nationales. Photo : Djenno Bacvic/IFC.

La délégation d'Azerbaïdjan se rend à la réunion bilatérale avec Makhtar Diop. La Conférence de Bakou de 2024 sur les changements climatiques, ou COP29, est une conférence internationale organisée par les Nations Unies. Elle se tiendra du 11 au 22 novembre 2024 à Bakou, la capitale de l'Azerbaïdjan. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
La délégation d'Azerbaïdjan se rend à la réunion bilatérale avec Makhtar Diop. La Conférence de Bakou de 2024 sur les changements climatiques, ou COP29, est une conférence internationale organisée par les Nations Unies. Elle se tiendra du 11 au 22 novembre 2024 à Bakou, la capitale de l'Azerbaïdjan. Photo : Djenno Bacvic/IFC.
